UN DESIGN UNIQUE
KITCHEN DESIGN FOR HUMAN WELLBEING.
Design est un terme qui signifie à la fois “dessin” et “projet”. Et pour Snaidero, être designer c’est assumer la responsabilité d’imaginer, puis celle de former une pensée harmonieuse et déterminée sur le monde.
Porté par un dynamisme et par une prise de conscience culturelle, ce design a réussi à investir l’ensemble de l’activité entrepreneuriale, allant de la production, à la distribution des ressources jusqu’aux relations client. Il y a ici une véritable aspiration à contribuer à la création d’un équilibre, un équilibre capable d’impliquer deux acteurs dans le même temps: le producteur et le consommateur.
Deux acteurs au sens ou Snaidero se fait aujourd’hui plus proche des attentes de ses Clients, dans une perspective toujours plus humaine qui prend en considération des exigences en terme d’ergonomie, de sécurité pour mieux satisfaire le consommateur. Nous avons de fait commencé par concevoir des produits responsables, au sens de respectueux, puis nous avons continué dans cette direction en imaginant des procédés eux aussi responsables.
Il est aujourd’hui possible, voire nécessaire, de contribuer à la formation de comportements individuels responsables. Nos comportements, mais aussi les vôtres, intimement liés et en accord.
50 ans de
conception
ICÔNES SNAIDERO
Projets d’auteur, icônes de style et d’exclusivité. Le signe des grands maîtres italiens du design industriel.


« Un beau design ne peut exister sans être pratique, et une parfaite fonctionnalité ne peut être atteinte sans une forme parfaite »
Paolo Pininfarina

« Un beau design ne peut exister sans être pratique, et une parfaite fonctionnalité ne peut être atteinte sans une forme parfaite »
Paolo Pininfarina

“Je conçois un objet en l’imaginant selon un concept “d’architecture pleine”, où l’enveloppe est plus entendue comme coque que comme membrane.”
Massimo Iosa Ghini
“Je conçois un objet en l’imaginant selon un concept “d’architecture pleine”, où l’enveloppe est plus entendue comme coque que comme membrane.”
Massimo Iosa Ghini